Always remember to be happy # G. Blackwood

Histoire :  Je suis né d'un vieux snobe véreux et américain du nom de David Richards Blackwood et d’une prostituée russe appelée Déborah Dimitriov. J’ai vu le jour le 1 mars 1978 dans un vieux appartement miteux à Dallas, Texas, États-Unis. Mon enfance, si seulement on peut l’appelée comme tel, se résume à voir passer les clients de ma mère, voir ses « amies » la soignée après une nuit qui a mal tournée, la voir se droguée et m’oublié, a devoir rester enfermé dans ma chambre avec juste un lit par terre tout sale et a apprendre tout comme un grand en étant seul et en devant mendié de l’argent et aller m’acheté un petit quelque chose à manger où je pouvais. Enfance joyeuse hein.. 



Dans les bas quartiers où je vivais avec ma mère, je voyais les flics descendre, arrêtez les dealers, fouillés des appartements, des caves, souvent les pompiers venez suite à un incendie volontaire, plus le temps passé, plus je voulais devenir comme eux plus grand. Pouvoir sauvez les gens innocents, arrêtez les dégâts des bas quartiers, faire en sorte que les femmes ne se prostituent plus ! Et puis arrêtez les grands méchants OH OUI ça serait génial ! Quand je serai grand, je deviendrais shérif ! C’était une promesse que j’avais fais à l’âge de 5 ans. 




C’était une nuit de pleine lune, j’avais 13 ans, on était en plein hiver et il faisait froid, même plus froid la nuit, comme la plupart des nuits ma mère était entrain de « faire le trottoir » et moi j’étais monté sur le toit de l’immeuble pour observer la lune et les étoiles, j’étais fasciné par leur brillances. Du toit je pouvais aussi apercevoir une forêt qui se trouvait à moins de dix minutes de l’immeuble. Encore une fois, comme d’habitude, un cri retentit dans la nuit la seule différence était que cette fois ci, le cri semblait être à côté de moi, juste en bas dans le parc. S’en suivit un cri de femme, déchirant la nuit. J’ai immédiatement reconnu la voix de ma mère, non un cri de plaisir mais bel et bien un hurlement de douleur. J’ai descendu les escaliers aussi vite que mes pauvres jambes le permettaient et j’ai continué vers le ârc prêt à défendre ma mère malgré mon jeune âge et malgré le début violent de tempête et mon manque d’amour et d’affection quasi inexistant. En face de moi, allongée par terre en sang je voyais ma mère poignardée par ci et là, au dessus d’elle un homme avec des yeux terrifiants et le visage défiguré par un air sauvage, méchant, animal et terriblement cruel. 




Le monstre se jeta sur moi et me planta un couteau dans l'épaule m'ouvrant en descendant la lame dans l'enfant que j’étais et j’hurla, mais déjà mes réflexes développés grâce à l'enseignement des plus grands des bas quartiers et mes entraînements firent que j’ai sorti de son étui attaché à mon bras ma petite dague d'argent que j’avais trouvé dans la chambre de ma mère après qu’un de ses clients fut passé et asséna de grands coups à cet homme fou qui sous le coup de la douleur relâcha son étreinte me permettant de m'enfuir à toutes jambes. Ce n'est pas pour autant qu'il renonça et s'élança à ma suite s'en doute ne fallait-il pas que je puisse le reconnaître auprès de la police. Les arbres s'agitaient avec fracas dans la tempête, leurs branches pliaient et craquaient sous le poids de la neige. Il faisait nuit noire. Entre les troncs noirs et rugueux comme de la pierre, le jeune garçon que j’étais, courrait, tombait, se relevait, repartait en courant. La neige fondait à la chaleur de mon corps et mes vêtements trempés devinrent presque aussitôt raides de givre. Mon monde était en noir et blanc, sauf là où il était rouge. Sur mes mains et sous mes ongles. Gelés au contact d'une lame d'un couteau qu'un enfant n'aurait jamais dû détenir.





Avec la tempête et ma blessure je fini par perdre connaissance et je me réveille dans une chambre d'hôpital sans savoir comment j'avais fait pour arriver là. La douleur me fit comme une brûlure géante et les larmes de souffrance se mirent à couler, un médecin rentra dans la chambre et me demanda si mes souvenirs étaient présents et si j'étais bien le fils de Déborah Dimitriov retrouvée poignarder dans le parc au pied de notre immeuble miteux. Malgré le manque de sa présence en tant que mère apprendre qu'elle était morte me fit mal, bien plus que ce que j'aurai pu penser, je confirme donc que oui c'est bien ma mère et je demande quand je pourrais sortir, il me répond qu'il me faudra un moment avant de cicatriser puis faire de la rééducation pour mon bras, mais c'était hors de question que je reste enfermer dans une chambre d'hôpital. Trois jours après je m'enfuis de là pour rejoindre mon chez moi. 




Sur le chemin me menant jusqu'à l'appartement pour pouvoir récupérer mon peu d'affaires et pouvoir partir je ne sais où pour espérer survivre et ne pas finir dans un foyer plein d'assistants sociaux, au niveau du parc il y avait une bande de racaille qui embêtait un gamin et sans hésiter malgré ma blessure je me mis devant lui me mangeant le premier coup à sa place et rendant la droite à l'agresseur, me connaissant ils savaient qu'ici j'étais avec les bandes traînant dans le coin et donc ils s'en allèrent ce soir-là la seule chose qui franchit mes lèvres fut mon prénom quand il me remercia en laissant la fin de sa phrase en suspend ne me connaissant pas. Depuis j'ai réussi à trouver un squatte pas trop loin de là avec des plus vieux et je me débrouillais en volant ou alors ils me donnaient de quoi survivre et l'un d'eux fini par m'accueillir chez lui de là ma vie changea.





Je repris l'école bien décidé à avoir un avenir chez les flics et pouvoir venger ma mère, car l'assassin n'avait pas été retrouver ou rentré dans l'armée. Au fil du temps et des années avec le gamin que j'avais sauvé on est devenu ami, puis on est devenu proche, j'étais gay je le savais, mais jamais je ne lui ai dis de peur de briser notre amitié et j'étais majeur lui était encore mineur ayant cinq ans de différence. Un soir pourtant on finit par coucher ensemble, j'étais doux avec lui c'était sa première fois et je le dorlotais comme un trésor précieux. Peu de temps après on se mit en couple, lui fit des études de médecines et moi je réussis à entrer dans le FBI montant en grade année après année, je finis par obtenir vengeance en abattant l'homme ayant tué ma mère en le prenant sur le fait alors qu'il tentait de tuer une autre femme.





En 2015 les grands patrons m'appelèrent et me proposèrent un travail pour un scientifique en m'exposant ses recherches, ses travaux, ainsi que le projet final donc je devais être l'un de ses gardes rapprochés. Ne voyant aucun mal à tout ça ma réponse fut direct et je dis oui, si j'avais su comment cela tournerait j'aurai refusé et j'aurai fui loin de tout ça. Pendant la première année durant quelques mois le chercheur échoua car, les cobayes mourraient sans signe de réussite. Pendant cette même année le mariage gay avait été voté et ma décision de demander en mariage mon tendre amour, celui qui faisait jour après jour battre mon coeur et qui me rendait fou amoureux, c'était mon plus beau trésor, il était ma vie et je l'ai su très tôt. Alors, un beau soir j'étais en congé et mon amour rentrait plus tard que prévu j'en ai donc profité pour dresser une table somptueuse, mettre un décor romantique avec des bougies et lumières tamisées, une fois rentré avant de lui dire bonjour je finis un genou à terre et dans mes mains il y avait un écrin ouvert avec un anneau en argent, sous le choque il ne m'a pas directement répondu, mais il finit par me dire oui qu'il le voulait aussi et donc nous nous sommes mariés un jour d'octobre en présence de nos amis et de sa famille. 


Pour notre voyage de noce il insista pour partir à Denver malgré que je voulais partir dans un pays chaud, mais pour le rendre heureux j'ai accepté. On décida de partir pour Noël donc en attendant chacun repris son travail puis un beau jour le chercheur réussit ou du moins il pensa avoir réussi et en partant voir ses supérieurs pour annoncer la bonne nouvelle, malheureusement pour nous l'alarme fut donnée car, le cobaye venait de mourir. Il essaya de le réanimer sans réussite, cinq heures après la déclaration du décès, le cobaye revint à la vie le docteur heureux de voir qu'il avait finalement réussit s'approcha de celui-ci et malheureusement il avait échoué car, l'homme était devenu un monstre, un zombie qui le dévora. Je n'ai rien pu faire pour le sauver et je pris la fuite. Le temps que le virus se propage j'étais parti pour notre voyage à Denver avec Max et là-bas se fut le chaos total, les gens étaient tous devenus comme le monstre du laboratoire et pendant des mois on a dû se battre, je combattais sans relâche pour tenir mon tendre amour hors de leurs griffes et dents. Pour finir on a fini chez les Deltas et tandis que mon bel amour est un intellectuel docteur, moi, je suis un homme de terrain qui connaît le maniement des armes et qui n'hésite pas à sortir avec les autres en cas de besoin.