~Louise~De nouveau dans cette ville.

Depuis la fin de la tempête, tout le monde essaie de refaire leur vie, nous avons eu quelques pertes à Salina, pour éviter de rester tout le temps là-bas, je m'approche d'Eliza, je lui dis que je vais partir pour aller à la recherche de ration ou même des choses utiles, elle me dit qu'elle voulait bien, mais qu'il ne fallait pas que je sois tout seul, je hoche la tête, puis je me mets à passer la barque d'aller sur la rive d'en face, je tue un rôdeur qui était dans les parages, puis je me dirige vers mon break.

Après une vingtaine de minutes, je me dirige chez les Alpha, je sais qui sait qui pourrait venir avec moi, je veux éviter de prendre Chloé, la pauvre, elle a vécu un drame avec moi et là ou je vais allez, ça va lui faire remonter de mauvais souvenir, donc une fois que je passe la porte d'accès, je me dirige vers le campement, je cherche du regard Chloé, mais personne, je m'approche alors de Lucas, je lui demande s'il avait vu Louise, il me dit là-bas, je lui dis que je veux qu'elle vienne avec moi en mission de ravitaillement, il accepte, puis je m'approche d'elle avec un petit sourire. « Salut Louise, tu vas bien ? »[/color]

Je la laisse terminer ce qu'elle était entrain de faire, ça me faisait du bien de la voir, en même temps il faut dire qu'en tant qu'ancien Alpha, je connaissais la plupart des gens, bien sûr que ça me fait bizarre parce qu'il y a de nouvelles têtes. [b] « Tu veux venir avec moi en ravitaillement ? » En plus de proposer à Louise c'est surtout que comme ça nous pourrons passer du temps à discuter et rattraper un peu le temps que nous avons perdu durant tout ce temps et puis en même temps je veux savoir comment elle a subi la tempête.

Alors que je suis arrivé chez les Alphas, c'était important pour moi d'aller saluer, les gens que je connaissais et puis il fallait aussi que j'aille dans la fameuse ville abandonnée, j'avais aussi des choses à dire et il fallait pour moi, une autre vadrouilleuse qui est aussi talentueuse que moi, Louise remplissait la catégorie au maximum, et puis Elizabeth, je sais qu'en temps normal elle s'en va souvent et puis en plus de ça, j'ai pensée directement à la jolie brune, on est pareil tous les deux, donc ça va être mieux. Une fois que je suis en face d'elle, elle se met à me faire un câlin, ce qui me fait sourire, je ne suis pas un habitué au câlins amicales, mais cela ne me déranger pas pour autant, je la prends également dans mes bras, il n'y avait entre nous, juste une belle amitié, ce qui me fait penser que je devais demandé à Louise si elle s'entendait assez bien avec Lucy, je sais qu'elles sont liés, je sais aussi qu'elles sont belles sœurs, mais je pense que ça va m'aider à comprendre la demoiselle. En gros, ça ne peut que faire du bien d'être en sa compagnie.

Je suis quelqu'un de toujours honnête et tant qu'on l'est, alors je ne peux qu'être sympa avec les gens et je n'ai jamais eu de soucis avec la belle brune, nous n'étions pas toujours d'accord dans les façons de voir, mais ce n'était pas non plus une si mauvaise chose, non, parce que pour moi, nous avons tous quelque chose à apporter et parfois, les gens ont des avis qui sont à prendre aussi en compte. C'est ce que j'ai essayer de dire à Lucy, mais cette demoiselle est assez têtue, mais cela me donner du fil à retordre, mais j'appréciais tout de même.

Alors que je lui demande si elle allait bien, je me mets à sourire lorsqu'elle me dit qu'elle allait mieux quand je suis là, cela me faisait du bien de savoir que ma présence était appréciée, mais j'avoue que la présence de la jeune femme tout aussi agréable pour moi. « Je vais très bien merci aussi. Je suis content de le savoir, mais je vais toujours bien quand je vois ce magnifique sourire. » Je sais que le mari de la charmante demoiselle n'apprécie pas trop que je sois proche d'elle, mais entre nous ce n'était que pure amitié, en plus le fait que je sois gay devrait le rassurer ce n'est pas de moi qu'il devrait avoir peur, bon c'est vrai que la jalousie parfois peut nous faire perdre la tête et on ne voit pas toujours les choses de la même vision des autres. Une nouvelle fois, je me mets à sourire, car elle accepte de venir avec moi. « Je suis heureux que tu acceptes, je te laisse te préparer pour vadrouiller un peu … Ta limousine Break t'attend. » Je me mets à rire, parce que mon break n'est en rien une limousine, mais bon. « Alors tu vas être sans doute … surprise de ce que j'ai à te dire. » Bon surprise ou être triste, cela dit, quand je repense à l'endroit, je pense qu'elle va sans doute se poser des questions.

Je suis bien content qu'elle accepte de partir avec moi en vadrouille, c'est toujours plus sympa de discuter, de passer du temps avec quelqu'un que nous apprécions. En plus de ça, Louise sait me mettre à l'aise, il y a des gens comme ça, tu les rencontres et tu sais qu'ils vont devenir des gens sur qui tu peux compter, c'est d'ailleurs ce que je ressens pour la jeune femme, une amitié en or quelque chose qui m'est précieux. Je me mets à sourire tout en la regardant, parce que je voyais bien qu'elle était heureuse, tout comme moi, ça allait être une bonne journée, je peux le sentir.

Tous les deux, nous allons pouvoir profiter de ces moments, je sais aussi que Louise est une addict à la drogue, elle devait se soigner, ce n'était pas facile, mais depuis la fin du monde, tous les drogués devaient se soigner et ça peut être très dur, surtout que c'est zéro drogue, même si je suppose que certains … ont toujours des petites plantations, je ne trouve pas ça bien, mais cela dit, je ne peux pas empêcher ce genre de chose et puis je ne suis pas un saint, donc je me dis que les gens font ce qu'ils veulent tant qu'ils ne nuisent pas aux autres. « De rien, moi aussi je suis heureux que ça va pour toi. » Oui, c'est vrai que c'est une conversation qui peut durée longtemps si je continue comme ça. Je lui dis ensuite d'aller se préparer et que son break limousine était prête, je me mets à rire, lorsqu'elle me répond « super mon carrosse » puis aussi que je ne change pas. « Oh mais pourquoi je changerais hein ? » J'essaie toujours de trouver les mots pour aider les gens, le monde dans lequel nous vivons n'était pas facile, alors si on tire tous la gueule ça ne va pas aller.

Alors que je me mets à attendre en regardant dans les parages, je peux voir Louise avec deux armes, puis elle va embrasser son mari ainsi que prévenir sa belle sœur … C'était bizarre de voir que Lucy était toujours aussi seule, il avait essayer de tout faire pour qu'elle s'en sorte, mais ce n'était pas toujours aussi facile, une fois qu'elle revient vers moi, je me mets à sourire. Elle pouvait sentir le stresse lui montait, il plonge son regard dans celui de la demoiselle. « No stress … ne t'inquiète pas, je te dirais tout en temps et en heure, ne soit pas si impatiente voyons. » Comme elle était prête, je me dirige vers la sortie, en passant les « gardes » puis je me mets à ouvrir la porte pour la laisser passée.

Dans le monde actuel, je pense qu'il faut toujours garder le côté positif et avoir le sens de l'humour, parce que nous pourrons très vite céder à la dépression, j'ai déjà vu des hommes et des femmes déprimer et à tel point qu'ils ne veulent plus vivre qu'ils se jettent dans la gueule du loup et qui font exprès de se faire mordre, il y avait des morts plus … glorieuse et moins dans la souffrance, mais non … Il fallait que les gens décide de se suicider de la pire des façons. Je sais que j'ai toujours la fâcheuse tendance à taquiner les gens, à aller parfois loin, mais heureusement Louise fait partie des gens qui ose me dire que je vais trop loin, alors du coup je fais en sorte d'être taquin, mais pas trop trop, parce que je sais que parfois je peux être un vrai lourdingue et ça, personne n'apprécie.

Louise est une des rares personne que j'apprécie, je ne connais pas toute son histoire, mais dans le fond, a qui ça intéresse ce que les gens ont fait par le passé ? Pas moi, je ne suis pas un ange, je sais que j'ai dû faire énormément d'erreur, à commencer par l'abandon de ma petite sœur Anaïs avec mon père gravement malade, ma mère qui était une personne douce, qui aimait s'occuper de ses enfants, c'est fait bouffer par mon père le soir où tout à basculer, j'ai laissé Anaïs et Ayden dans la merde, enfin tout ça, faisait partie des choses de a vie, même si aujourd'hui, je suis rassuré de savoir que ma petite sœur et mon petit frère son en vie, j'ai aussi appris quelque chose que j'ai eu du mal à digéré, ouais Adam Stevenson … Celui que je pensais être mon cousin, ne l'était pas, c'était mon demi frère. Je ne l'ai pas revu, mais d'après certaines sources fiable, Ayden, je sais qu'il est en vie et je dois aller le voir pour discuter justement de cette annonce, je ne sais pas si je vais réussir à pardonner, je ne sais pas s'il est réellement au courant ou non … mais je vais devoir avoir une longue conversation. Enfin bref, tout ça juste pour dire que j'apprécie Louise, parce qu'elle reste une des femmes fortes du groupe.

Le fait de passer du temps avec elle, ça allait sans doute m'aider à comprendre sa belle sœur, mais aussi de savoir ce qui ce passe dans sa vie, attention, je ne suis pas non plus du genre à raconter la vie des autres, je ne trouve pas ça intéressant, je lui avais laissé un peu de temps pour se préparer, je suis quelqu'un de patient, elle aurait voulu passer un peu de temps avec son mari, cela ne m'aurait pas déranger, je sais que ce dernier est jaloux et pourtant … Il n'y avait pas de quoi, je ne suis pas un danger pour sa relation et puis même si j'aurais été hétéro, je n'aurais pas sauter sur Louise de la sorte, surtout que je sais qu'elle est mariée. Je me mets à sourire lorsqu'elle revient et qu'elle me dise qu'elle avait hâte, je ne suis pas sûr de pouvoir tout raconter dans la longueur. J'éclate de rire lorsqu'elle me dit qu'elle allait faire une attaque et qu'elle suffoquer. « Mais non, ça va aller t'inquiète pas. »

Une fois qu'elle me dit en route, nous prenons la direction de la sortie, montant dans mon break, je démarre une fois qu'elle était prête, je me mets à la regarder tout en souriant, puis je me dirige vers le lieu que nous avons pas eu le temps de passer au peigne fin. « Alors déjà je voulais savoir, Lucy a toujours été … Si distante avec le monde ? » Je sais que cela ne se faisait pas, mais j'avais envie de savoir. « Comment ça va avec ton mari ? » Ouais pour le moment, je voulais réellement savoir comment elle allait et si tout ce passé bien pour elle, au bout d'une dizaine de minute, je mets mon clignotant à gauche, puis je tourne peu de temps après et je continue de rouler. « Ensuite, je ne sais pas si tu as entendu des échos sur un lieu où Chloé et moi et Ryan avons été bloqués durant trois jours ? » Je n'aime pas ce lieu, parce que je suis sûr qu'elle va être surprise et j'espère aussi que les rôdeurs auront totalement disparu de cette ville, quoi que s'il en reste deux trois, ce n'était pas si grave.

Je ne veux pas lui faire peur, je trouve que ça ne sert à rien, ce qui c'est passé … devait être oublier non ? Mais ce n'était pas aussi facile, je suis le premier à l'admettre et je sais aussi qu'il fallait que j'en parle, que je me remette en question et qu'il fallait que je passe au dessus, c'était si facile à dire qu'à faire, je prends toujours mon courage à deux pour rendre service aux autres, aux communautés, mais j'avoue que depuis un petit moment, je n'avais plus trop envie, j'étais si fatigué de toujours tomber dans les pièges des gens, maintenant, je vais être encore plus vigilant. Je sais qu'elle flippe un peu, mais je me dois avant tout de la rassurer, je suis bien … enfin il faut que je remplisse mon âme d'amour, parce que dernièrement, ce n'est pas l'amour qui a triomphé, mais bel et bien la haine, la colère.

Une fois qu'elle était totalement prête, nous avons prit la route pour aller dans cette ville, je voulais voir s’il y avait des restes de ces salopards, mais je savais qu'ils étaient mort, c'était une évidence et ils ne pourraient pas survivre avec tous les rôdeurs qui étaient dans les parages. Avant de parler de moi, j'avais envie de poser la question concernant Lucy, elle était toujours à l'écart de tous, je trouve ça dommage parce que c'est une fille tellement … je sais qu'elle peut apporter quelque chose aux Alphas, elle dit que nous allons répété les mêmes erreurs … Mais si elle nous aide pas justement à ne pas les faire comment faire d'autre ? Je ne veux pas la critiquer, c'est vrai que si je demande ça, c'est surtout parce que je m’inquiète pour elle, elle avait l'air d'être triste, tout le temps, et on sait que dans notre monde, ça pouvait être terrible. Alors qu'elle commence à parler, e l'écoute attentivement, ça pour être renfermée … On peut dire qu'elle, c'est ce que je trouve dommage, parce qu'elle a l'air d'être quelqu'un de bien. « Je crois que ça je l'avais compris, qu'elle n'avait pas eu une vie facile. Mais à force de trop se protéger, j'ai peur que les gens l'abandonnent une nouvelle fois. Enfin dans le sens qu'ils ne vont pas vers elle et c'est dommage, parce qu'elle a l'air d'être adorable d'après ce que tu me dis. Je suis d'accord, elle a un sacré caractère et c'est pour ça aussi que je veux voir jusque où elle peut aller, non pas que je vais la forcer à péter un câble, mais je veux apprendre à la connaître. Ensuite j'oriente mes questions sur son mari, c'est bête, mais plus je prends d'arriver à mon sujet et mieux je me porte. Je me mets à regarder la route tout en l'écoutant alors me parler. [b] « C'est vrai, mais je suis sûr que tu vas vite arriver à te débarrasser de ton addiction. » Bon ce n'est pas facile, mais dans ce monde là, tout peut aller très vite, c'est ça qui peut faire peur.

Je secoue la tête lorsqu'elle me dit qu'elle serait venue me rendre visite. « Oh non et c'est pas plus mal que les gens ne se sont pas rendu compte de notre disparition. » Ouais, a ce point là, on peut appeler ça une disparition. « Disons qu'on va voir ce qui ce passe dans la ville … Je dois te prévenir … ça ne doit pas être beau à voire. » Je prends une grande inspiration. « En fait, nous avons eu un tuyau de la part des vadrouilleurs des communautés, comme quoi il y a une ville abandonnée, qu'il y avait des choses qu'on pouvait prendre. Très vite, nous avons mis en place une quête, Chloé, Ryan et moi, nous y avons été. » Je termine ma phrase pour prendre une grande inspiration. « Durant les minutes de notre arrivés, on a caché nos voitures, puis je suis parti pour voir … mais je me suis fais capturé … Puis Chloé et Ryan aussi, nous avons vécu la misère … Ils nous ont violenté … » J'ai envie de revomir à la suite de ma phrase. « Pour nous échappé, j'ai dû faire un massacre … C'est réellement pas beau à voir. » Je préfère la prévenir avant qu'elle soit sous le choc.

Louise était une femme réellement attachante, surprenante et même si elle avait sa dépendance et qu'elle était en manque, ce n'était pas une personne totalement différente des autres, elle voulait donner un coup de main et puis de toute façon qui suis-je pour juger autrui ? Je suis aussi différent avec mon orientation sexuelle et je ne peux pas non plus dire que je suis différent des autres, parce que comme tout le monde, je veux survivre, continuer de vieillir jusqu'à ce que ma dernière heure soit arrivée. C'est alors que je parle de Lucy à ma meilleure amie, je sais qu'elles sont unis toutes les deux et je veux en apprendre plus sur elle, hormis son côté un peu … blasé du monde, je veux savoir si je peux essayer de percer le mystère, ouais, parce que je suis comme ça, j'ai percé les mystères des gens, je veux qu'ils voient que je peux être aussi quelqu'un de bien et que je veux les aider, même si c'est vrai que je ne le ferais pas avec tout le monde. Je ne veux pas changé la demoiselle, parce que de une, je n'en ai pas le pouvoir, mais je sais aussi si Louise m'aide à trouver une façon de la faire s'ouvrir, alors je ne suis pas contre. Je l'écoute alors me dire que Lucy aura toujours son frère et elle, mais aussi qu'elle comprenait que les gens n'auraient pas la patience, sauf s'ils sont comme moi, j'adore essayer d'aider tous ceux qui le méritent et même si elle est solitaire dans l'âme, je suis sûr que je peux trouveer un moyen qu'elle me voit comme quelqu'un de bien. « Je pense que le plus important c'est que vous soyez là pour elle, mais désolé de dire ce que je vais dire, mais si un jour ils vous arrivent un truc, elle va se retrouver seule et ça je ne le veux pas, même si elle a l'air d'apprécier d'être comme ça, je ne veux pas non plus qu'elle se sente encore plus rejeté. JE l'espère vraiment, elle n'est pas si détestable qu'elle veut le croire. Elle ne veut pas aider les autres, elle pense que nous allons répétés les mêmes erreurs du passé. Je lui ai même dit qu'elle devait alors ouvrir les autres aux dirigeants, mais ça ne marche pas. » Je ne dis pas que ça m'attriste, mais je trouve ça dommage, au lieu de gâcher son potentiel, elle devrait œuvré pour qu'on ne répète pas nos conneries. Je garde toujours un œil sur la route et je hoche la tête lorsque la jolie brune me dit qu'elle avait beaucoup à offrir. « Nous sommes d'accord sur ce point. Oh elle a déjà fait tout ça, elle m'a rejeté, mais comme j'ai appris un peu à la connaître, tu m'as aussi aidé à la comprendre. » Je prends une grande inspiration. « Oh non, ne lui en parle pas, enfin tu peux lui dire qu'elle a beaucoup à offrir, mais ne parle pas de moi, je ne suis pas sûr qu'elle va te répondre gentiment. » Je me mets à rire, oui, c'est comme ça que je la vois, si les gens parlent de moi, elle va peut-être s'emporter, elle a l'impression que si je lui parle, c'est parce que j'attends quelque chose d'elle, alors que pas du tout.

Une fois que je lui dis ce que je pense pour son addiction, je n'en fais pas tout un plat, je sais qu'elle n'est pas à l'aise et je ne veux pas qu'elle s'emporte même si je ne dis rien de mal, mais je sais que lorsqu'un sujet est tabou, en parler, peut être mal vu et je ne veux pas la blessé loin de là. Puis très vite, le sujet de la ville où nous allons été arriver aussi sur le tapis, je ferme les yeux lorsque je l'entends alors me dire qu'on s'est fait avoir et aussi elle s'inquiète de savoir comment on allait, puis aussi si ce n'était pas trop grave, que dire … Nous avons vécu un enfer durant trois jours, on savait que si on ne partait pas rapidement, on risque de ne pas le faire, je prends une grande inspiration. « Alors, en fait, maintenant ça va, cela fais un mois, je me reconstruis, moi ça va a peu prêt. Ses gens étaient de vrais ordures, ils violés les femmes et tué les hommes, sauf ceux qui prêtaient allégeance au chefs … Après ce qu'ils nous ont fait, je n'ai pas su garder mon calme et je les ai … torturé aussi et normalement, vu tous les rôdeurs, ils sont mort. » Je raconte un peu en gros, je n'avais pas envie d'entrer dans les détails, c'est vrai que je fais croire que ça va mieux, mais ce n'était pas encore le cas, je me souviens de cette solitaire que j'ai croisé Joëlle, je ne voulais pas la laisser sortir et j'ai voulu la tuer, heureusement qu'il y avait une personne censé qui m'a fait rater ma cible.

J'appréciais quand même la famille Sethman, oui Louise est une femme que j'apprécie beaucoup, c'est une avec qui j'ai pris beaucoup de plaisir à discuter, à rire, et surtout à vadrouiller, je sais aussi que son mari n'aime pas trop quand je suis dans les parages, mais cela voulait réellement dire qu'il aime beaucoup Louise, ensuite Lucy … Hum, je ne sais pas trop où me positionner avec la jeune femme, je trouve ça dommage qu'elle veuille se renfermer de la sorte, elle mérite la place qu'elle devrait avoir, elle a des idées, alors pourquoi pas les dire ? Je trouve ça dommage. Je me mets à sourire lorsqu'elle me dit qu'elle ne comprenait pas pourquoi elle n'a pas succomber à moi … Il faut dire que même si je suis gentil, je cache une part sombre et je pense qu'elle n'a pas envie d'être déçue ce qui au final, je pense que je comprends. « C'est dommage, mais je pense qu'il faudra un peu de temps avant qu'elle voit que je suis quelqu'un de bien. Je te remercie du compliment, mais sache que je pense pareil de toi, tu es quelqu'un d'important pour moi et c'est pour ça que je me battrais jusqu'au bout pour ta survie, ainsi que ton mari et Lucy, même si elle est … distante avec moi. Ou alors, elle a peut être peur de souffrir … Ce qui au final, je peux comprendre. » Je me mets à sourire. « Je suis sûr que c'est quelqu'un de bien, je peux le voir, si elle ne l'était pas, elle ne donnerait pas de coup de main dans le camp, elle s'occupe des plantations, ce n'est pas quelqu'un de mauvais qui le ferait. Je continuerais de le faire, tu sais toi même que je suis quelqu'un qui persiste. » Oh oui, je ne lâche pas aussi facilement l'affaire, cela ne me ressemble pas. Je peux comprendre que Lucy n'ai pas envie d'avoir en foi en l'humanité, si elle se sent pas à sa place, mais c'est dommage, la fin du monde devrait nous permettre de faire ce qu'on veut dans la limite du respect, je suis sûr qu'elle a tellement à nous offrir. Je me mets à réfléchir tout en regardant la route. « Je n'en doute pas qu'elle aime et qu'elle fait quelque chose de bien, c'est pour ça que je veux qu'elle s'affirme plus, je sais comment sont les Alphas, en plus ils doivent pas l'emmerder, vu comment elle nous regardent de travers quand on s'approche d'elle. » Je me mets à rire, ce n'est pas une critique bien au contraire. Je me mets à sourire. « Ne t'inquiète pas, je pense que ça prendra le temps, mais je finirai par percer sa carapace pour me faire une place. » Oh oui, je suis sûr que ça va prendre du temps, mais cela ne me dérange pas, je vais lui prouver que je ne suis pas qu'un casse pied, j'ai déjà essayer de lui faire prendre conscience que je suis quelqu'un de bien et que je ne lui parle pas, par profit, je n'ai rien à gagner en lui parlant.

Je sais qu'elle peut s'en vouloir, mais je crois que le principal c'est que je suis toujours vivant non ? Je plonge vite mon regard dans le sien avec un petit sourire. « Ne t'inquiète pas, je vais bien aujourd'hui, certes, ça ne m'enchante pas trop de retourner là-bas, mais je pense qu'il y a moyen de récupéré des choses, peut être des matelas, de la nourriture, ou même des objets important, on verra bien. » Est-ce que j'ai des séquelles … J'en suis sûr, comment vais-je lui dire ? Je ferme les yeux, je prends une grande inspiration, je tourne, puis je continue tout droit, nous étions sur le point de voir le carnage, peut-être que les rôdeurs auraient tout bouffé ... « Oh … je n'en suis pas sorti indemne … c'est une évidence, mais aujourd'hui, j'essaie d'aller de l'avant et de me dire que les hommes ne sont pas tous pareils. » Puis une fois à l'approche de la ville, je ralenti, puis je commence à entrer en voiture. « Bienvenue dans la ville de l'enfer. » Lâche-je avec un petit rire.

Je suis heureux de partir avec ma meilleure amie, bon là ou nous allons n'est sans doute pas le meilleur endroit au monde, mais je suis sûr que nous allons quand même trouver des trucs important. Ce que j'aime chez Louise, au final, c'est sa bonté, sa gentillesse, sa douceur, c'est son mari et sa belle sœur qui ont de la chance de l'avoir, j'aimais partager, discuter avec elle, cela me faisait penser au moment ou j'étais encore chez les Alphas, bon ça n'a pas changer notre relation, mais nous nous voyons plus beaucoup et aujourd'hui, je veux rattraper le temps que nous avons perdu à discuter, ce confier, ce qui m'est arrivé, je veux lui dire, je sais que la meilleure thérapie pour essayer de se reconstruire, c'est tout d'abord parler, dire les choses et essayer de ne plus penser à ça. Lorsque je parle de Lucy, j'essaie de comprendre son fonctionnement, j'ai déjà bien compris que si elle était en retrait, c'était surtout par rapport à son passé, ce qui c'était passé, mais on ne peut pas dire qu'elle m'en aurait parlé, vu qu'elle ne me considère que comme un homme de profit … Genre si je lui parle, c'est pour quelque chose, alors que ce n'est pas le cas, je veux qu'elle voit que je peux être un ami fidèle, il faut juste qu'elle me laisse la chance de lui prouver. Je me met à imaginer peut-être qu'un jour que Lucy verra que je suis quelqu'un de bien, mais ce n'est pas à l'ordre du jour. Ce n'est pas grave, tant que je le peux, je lui prouverais que je suis quelqu'un de bien.

Mon regard durant le trajet passe de devant nous au visage de ma meilleure amie, je l'écoute aussi me parler, ce qui est bien avec Louise, c'est que même si on ne se voit pas tous les jours, à chaque fois qu'on se revoit, c'est comme-ci on s'était quitté la veille aucun de nous se reproche notre éloignement … Enfin je parle l'éloignement de la où on dort, pas de notre relation, parce qu'il n'y a aucun éloignement entre nous et je ferais tout pour que ça ne se produise pas. Je l'entends alors me dire qu'elle se disputait avec Luce' parce qu'elle s'éloigne de tout, se méfie de tout le monde, bon j'avoue que dans le monde dans lequel nous vivons, elle n'avait sans doute pas tort. « Je pense que s'engueuler avec elle, ce n'est pas le meilleur moyen de l'attendrir, mais je comprends que tu veuilles qu'elle comprenne qu'on ne peut pas vivre dans la méfiance tout le temps, mais dans le fond, je la comprend un peu, elle se méfiait avant … Aujourd'hui, c'est la même chose pour elle, voir pire. » Je n'essaie pas de la défendre, je pense que je la comprend. « Je pense aussi que c'est pour se protéger, mais là, c'est trop non ? Et je te rejoins la-dessus, c'est de la peur tout simplement, elle ne veut pas souffrir, elle ne veut pas pleurer des morts, alors elle s'éloigne, elle mets des barrières, mais un jour, je suis sûr que ses barrières vont s’effacer, non pas par un enchantement, mais quand elle comprendra qu'elle a quelqu'un qui va l'aider, lui tendre la main. » Je ne dis pas que ça sera moi, parce que vu comment elle me traite, je ne suis pas sûr d'être celui qui l'aidera, mais je lui prouverai par le temps que j'ai raison et qu'elle a tort, si elle le réalise un jour en tout cas. « Je pense qu'il ne faut pas laisser quelqu'un seul, ça me fait rire, parce qu'on en a parler avec Lucy, elle me disait que je pensais à moi en allant lui parler, alors que c'est tout simplement l'éducation de mes parents, ils m'ont appris à ne pas laisser quelqu'un seul, qu'il fallait aller les voir, c'est ce que j'ai fais avec Lucy, je pense qu'elle voit ça comme une obligation de ma part, mais ce n'est pas du tout ça. Je te remercie, je fais ça parce que je trouve que c'est triste d'être seul dans ce monde. » Je me mets à sourire. « Tu sais bien que tu n'as pas à me remercier, je suis sincère et honnête. Je vous protégerez quoi qu'il arrive, même si Lucy ne le veut pas, elle sera forcé de m'aimer. » Je me mets à rire, non, elle ne sera pas forcer, mais avec le temps elle le comprendra. Elle a raison, elle donne de sa personne, elle est une fille bien, même si elle le doute. « C'est ça le pire, c'est que sous ses aires de filles solitaires, elle donne du temps à ses plantations, elle donne un coup de main, elle participe, donc elle n'est pas très solitaire dans le fond. Elle va céder, lorsqu'elle comprendra que les gens ne sont pas comme elle le pense. Oh … merci. » Je me mets à rire lorsqu'elle me tapote l'épaule Je hoche la tête. J'adore la famille Sethman, même si une d'entre elle, ne m'aime pas, ou du moins se méfie de moi, je veux qu'elle voit que je ne suis pas si méchant, le Mari de ma meilleure amie, est sympa, le truc c'est qu'il est un peu jaloux, alors qu'il n'y aucune crainte, même si on est bloqué durant des mois ensemble … Je ne lui ferais pas de mal ou autre, non, il peut se rassurer avec moi. « Je pense qu'il faut tendre la main à tout le monde, ce n'est pas parce que tu es seule qu'il faut t'ignorer. J'aurais fait la même chose avec toi et tu le sais, je suis comme ça, le cœur sur la main, malgré que le monde est pourri. »

Une fois que nous sommes arrivés dans la ville, je me mets à soupirer légèrement, je n'avais pas envie de rester longtemps, mais les recherches avant tout, je sais qu'ils vivaient bien, peut-être pas autant de nourriture, mais il y avait certainement des choses à prendre, des matelas … bon … malheureusement, ça ne sera pas super, mais déjà ça, puis peut-être des objets qui peuvent servir, en gros, il nous faut de tout pour nos camps. C'est alors qu'elle me demande si je suis sûr et aussi que je n'étais pas obligé d'y aller, disons que je n'avais pas envie que ça soit Chloé ou Ryan qui y retournent, je pense que je suis le coupable des meurtres, donc autant se flagellés de la sorte. « Je suis sûr, ne t'inquiète pas, il faut dire que ça fait bizarre de revenir là, mais il le faut. Pour du matos, si, je sais qu'ils n'ont pas survécu, c'est un avantage et puis ça me fait passé du temps avec toi. » Une fois le moteur couper, je laisse les clés sur le contact, au cas où nous devons partir rapidement, puis je la regarde. « Tu sais, nous avons vécu l'enfer, Chloé était battus, dans le sens où le chef la bien martyrisé, Ryan et moi, on a du la fermer si on ne voulait pas qu'elle souffre et moi j'ai été ...Abusé... » Je préfère employé se terme, cela ne me faisait pas passer pour une victime, d'ailleurs, je crois que si je le serais, je me suis bien venger, les rôdeurs c'étaient éparpiller, il n'y en avait plus, les corps des hommes morts étaient en putréfaction, puis deux corps allongés, cela voulait bien dire qu'ils n'avaient pas eu le temps de se sauver, puis alors que j'ai mon arme et ma hache, je me mets à regarder les maisons, c'était calme, une chance, je me mets à regarder alors Louise avec un petit sourire. « Mais ça va mieux. » Enfin mieux, faut le dire vite, j'essaie juste de m'en convaincre, c'est ça le plus dur, je comprends dès à présent ce que les femmes violées subissent au fond de leurs âmes.

Le monde dans lequel nous vivons n'aide pas à se lier d'amitié avec les gens et je peux le comprendre, oui, Lucy n'étant pas quelqu'un qui se lie facilement avant la fin du monde, aujourd'hui, ça ne peut qu'être pire. Je hoche la tête en la regardant, ma meilleure amie avait raison, Lucy a sans doute encore plus de peur maintenant qu'avant, c'est de la logique. « Je pense que tu as raison, mais il faut aussi qu'elle comprenne que nous ne sommes pas tous de mauvaises personnes, il y en a ils peuvent tendre la main sans avoir des craintes. Tu penses vraiment qu'elle apprécie plus les zombies que les humains ? » Là j'avoue que je suis perdu, les rôdeurs sont quand même pires que nous non ? Enfin dans le sens où ils tuent les êtres vivants … « Je suis quand même surpris de ce que Lucy pense, par rapport aux zombies, mais je pense qu'il faut lui laisser du temps, tout comme je le fais. Je pense que c'est normal de ne pas la blâmer pour ce genre de choses, il faut du temps pour qu'elle voit le bon côté de l'être humain. » Surtout comme elle m'a dit toute à l'heure, Lucy a toujours était quelqu'un de solitaire, alors ce n'est pas du jour au lendemain qu'elle va apprécier la présence des êtres humains. J'essaierais jusqu'à mon dernier souffle de lui faire comprendre que je ne suis pas une mauvaise personne, même si bien sûr j'ai déjà fait de mauvaises choses.

J'apprécie réellement la conversation et la sortie, même si dans le fond, nous allons dans un endroit que je ne supporte pas, j'ai aussi besoin de passer du temps avec Louise, elle me manquait tout comme je pense que je lui manque et puis être a deux, c'est toujours bien, on pouvait passer le temps à discuter comme-ci cela faisait une journée qu'on ne s'était pas vu. Je sais que ce n'est pas facile tous les jours, dans ce monde, mais pourtant, je trouve que les gens s'y adapte assez bien, ce qui est une bonne chose. Je ne peux pas forcer les gens à m'apprécier et je sais que Lucy le comprendra, tout comme Louise l'a fait quand on s'est croisé, bien sûr, ça a prit du temps, mais aujourd’hui, je l'aime comme si elle faisait partie de ma famille, chose qui est sûr, pour moi, c'est le cas. Le truc avec Louise, c'est que nous avons la même façon de voir les choses, donc du coup ça aide aussi, on a une franchise et une force qui permet aussi à bien s'entendre. Je me mets à l'écouter, elle me rassure dans le fond, en me disant que ce n'était pas moi le problème avec Lucy, mais le caractère de la jeune femme y était pour beaucoup, elle s'était former une carapace, chose que je peux comprendre. Je me mets à sourire, on est d'accord, c'est une bad girl, mais un être humain avant tout. -Je peux le voir, c'est une femme, blessée certes, mais elle a un cœur énorme, j'en suis sûr. J'espère juste qu'un jour, elle comprendra l'importance de se serrer les coudes, si les campements ne tiennent pas et qu'elle est en danger, je l'aiderais à se sauver, ça c'est une évidence même si elle ne me remerciera sans doute pas. » Je me mets à rire. Puis alors qu'elle avait l'air d'être surprise lorsque je lui ai dis que Lucy pensait que je faisais ça que pour moi d'aller la voir bien sûr. « Une nouvelle fois, je ne la juge pas, je pense qu'elle a voulu tout faire pour m'éloigner, mais ça n'a pas marcher. Oh ma chère meilleure amie, je ne peux pas lui en vouloir, je pense que c'est pour bien se protéger comme tu l'as dis toute à l'heure. On s'est bien choisi, nous sommes pareils, c'est pour ça qu'on s'entend bien. » On se veille l'un sur l'autre, même si on ne se voit pas tout le temps, c'est ça la force de l'amitié. « Je le sais ma chère et tendre Louise. » Je l'adore cette femme, elle est super. Je me mets à sourire une nouvelle fois lorsqu'elle me dit que la mauvaise facette à intérêt de vite tomber. « Je pense que ça prendra un peu de temps et je suis patient. » Je me met à regarder la route. « Mais tu l'es aussi … D'ailleurs je n'ai pas intérêt de penser que quelqu'un d'autre dit de toi que tu es égoïste. » Parce qu'elle ne l'est pas, d'ailleurs ceux qui aident les autres ne peuvent pas être égoïste, c'est impossible.

Lorsque nous arrivons dans la ville, j'avoue que je n'étais pas bien, c'est repenser, revivre une nouvelle fois l'enfer, mais c'est aussi très important pour moi de revenir, de faire le deuil et aussi de voir qu'ils sont bel et bien mort. En fait, c'est un peu un mensonge de dire que je suis venu ici pour récupéré les choses … Oui, une partie est que je veux leur voler ce qu'ils ont, mais c'est surtout pour avoir la preuve visuel qu'ils sont bien mort et que j'ai eu une petite victoire sur eux … Enfin non, j'ai gagné la guerre, même si je me suis assombri l'âme pour y parvenir. « Disons que je pense que c'est surtout pour me convaincre que c'est du passé et que j'ai permis à d'autres femmes et hommes de survivre à leur tyrannie. Merci, mais c'est un peu égoïste, je veux dire, si je reviens, c'est aussi pour avoir la preuve qu'ils sont bien mort. » Je me mets à regarder ma meilleure amie, je peux voir qu'elle était entrain de pleurer, je la prends dans mes bras, je ne veux pas qu'elle soit triste à cause de moi. D'un coup, il y a tellement de questions que je ne savais pas par où commencer, je prends une grande inspiration et je m'écarte. « Oh !!! Beaucoup de question. Pour commencer, heureusement que nous avons sauvé Chloé ce n'était pas la pire chose, c'était surtout qu'ils nous tuent devant elle. Ensuite, c'est vrai que c'est dur mentalement, mais j'essaie de tenir le coup. Oui, ils sont là … Enfin, le reste des corps est éparpiller, mais les deux que tu vois là … C'est ceux qui ont commandité tout ça. Ils sont mort, c'est pour ça que je voulais aussi venir ici. » Je respire, puis je plonge mon regard dans celui de Louise. « Pas de médecin, j'essaie de remonter la pente comme je peux, en étant proche des gens qui m'entourent, c'est sans doute la meilleure chose à faire. » Je ne veux pas aller voir un psy, bon déjà, je ne suis pas sûr qu'il y en ait, mais cela dit, je veux m'en sortir avec mon courage, ma force et aussi mon entourage.