Avec toi c'est du bonheur ~Gabriel~

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

Sept mois que tout avait commencé officiellement, sept mois que je défendais corps et âme mon époux sans relâche, sans hésitation, sans peur. J'étais formé pour même si parfois j'avais plus envie de cette vie là et que je ferai n'importe quoi pour revenir en arrière pour pouvoir empêcher la fin du monde, pouvoir offrir une vie à mon homme de rêve et pas un chaos infernal. Je sais qu'il va mal intérieurement, je sais qu'il voudrait en finir, je le connais par cœur et c'est bien pour ça que je me battais pour lui, pour qu'il puisse obtenir l'avenir dont il rêvait avant le déluge mon tendre amour. 


Le début de ma vie fut très lourd à porter, le jour où j'ai rencontré mon amour fut mon sauvetage, c'est lui mon ancrage, il est plus jeune et n'imagine pas tout ce qu'il peut m'apporter depuis ce soir-là. Avec les lois j'ai seulement pu le demander en mariage il y a un an et voir les larmes, le bonheur, la joie sur son doux visage était la plus belle chose que j'ai pu avoir dans ma vie. Je ne me vois plus et pas sans lui, au début c'était difficile on refusait qu'on soit ensemble dans le camp pour compatir à la perte des autres et au vu de mon caractère bien vite on a pu être ensemble, je soutiens les autres, mais je ne me priverai pas pour eux. J'ai bien trop eu peur de le perdre pour laisser des inconnus faire ça. Mon réveil fut doux avec un bisou sur la joue de mon homme ce qui me fait sourire, je l'entends se préparer et sortir, il était tôt, mais je suis le mouvement et à mon tour je me lève, m'habille et sort voir où mon trésor se trouve. Le voyant non loin devant moi, je m'approche et une fois près de lui je l'attire dans mes bras en posant ma tête sur son épaule vu qu'il est plus grand que moi.



"Bonjour, toi ! Belle matinée, ça change.."




       

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

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Max Blackwood & Gabriel Blackwood

J'ai l'impression que cette scène est digne d'un film d'amour à l'eau de rose et fait très fleur bleue, mais je m'en contre fiche. Dans ce monde dévasté par les scientifiques et leurs créations du diable j'ai le droit d'avoir l'amour de ma vie avec moi et de vivre des moments de douceurs et tendresses en ne sachant pas si oui ou non l'un de nous mourra dans les jours, heures, minutes même secondes à venir. Dans ses bras je suis moi, je suis complet et j'emmerde le monde entier. Cela fait bien longtemps que plus rien ne me tient à coeur en dehors de Max. Déjà enfant je n'ai pas eu d'amour à donner ou recevoir et j'ai du mal parfois a en donné ouvertement à Max, je le protège, je suis là pour lui, mais pour donner ouvertement ce n'est que depuis que l'alarme a retenti.


Aujourd'hui, je devais partir avec des vadrouilleurs pour essayer un élargissement de terrain en compagnie de Jonas, mais l'envie de ne pas quitter mon bien aimé était plus forte que le reste. Sa réponse me fit légèrement rire il n'a pas tort je ne suis pas obligé, avouons simplement que sans savoir comment la journée se déroulera tu as envie de profiter de tes proches un maximum de chaque seconde. Je sais bien qu'il n'aime pas quand je m'en vais et sors avec ou sans son accord, il a peur, je le comprends, j'ai déjà failli le perdre plusieurs fois, s'ils avaient réussi, à l'heure actuelle je serais mort également. Mon rêve de gosse avait viré au cauchemar de la faute du chercheur incapable de bien sécuriser les expériences. Je le sers contre moi et réponds :

"Je devais partir, mais l'envie de rester pour une fois avec toi malgré les besoins est bien plus forte que n'importe quoi d'autre Max. Et toi tu as prévu quoi ?"




       

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

Étant en face de l'homme que j'aime, je pose ma main sur son visage, quand on sait par quoi on est passé dehors, je n'ai pas envie d'y retourner et pourtant, dans le fond, je suis sûr que je vais finir par devoir y aller, comment ? Je ne sais pas, pourquoi ? Sans doute parce que je serais obliger, Gabriel a toujours veillé sur moi et dans le fond, je le sais, je ne suis qu'une plaie, je n'ai jamais été doué pour les armes, je n'ai jamais été doué pour les combats rapprocher, les seules chose que je peux faire, c'est d'essayer de rassurer les gens et parfois même ça ce n'est pas suffisant. Le fait de passer un petit moment avec lui, ça me faisait du bien, en plus de ça, le fait que la fin du monde à sonner, je ne sais pas si je vais finir par le revoir, dehors, les zombies comment les gens les appellent sont de plus en plus nombreux et les être humains … jamais autant le monde avait connu une telle chose. Mon regard poser alors sur l'homme avec qui je partage ma vie, j'approche mon visage de ses lèvres tout en le forçant me coller un peu plus et je l'embrasse tendrement. Je sais que Grabriel n'était pas du genre à me dire qu'il m'aimait tous les jours, tous les mains, je me souviens parfois quand je lui envoyer un « je t'aime » et qu'il ne me répondait pas … ça m'énerver, mais depuis peu, il commence à changer et c'est agréable.

Je lui fais un câlin et lui roule une pelle, ce genre de moment, nous ne les avons pas et j'avoue que ça me manque, j'ai envie de la tendresse, je plonge mon regard dans le sien et je lui glisse à l'oreille. « Dommage que tu partes pour élargir le terrain. » Je dépose un baiser sur sa joue, puis je m'écarte pour le regarder, je me touche le torse sans arrière pensée. « J'aimerais tellement que tu restes, mais je ne peux pas t'empêcher de partir, je sais que tu aimes aller dehors. » Dehors … nous sommes tous dehors, on n'a pas de vrais logement. Enfin bon, je me mets à le regarder, je dois bien avouer que des moments intimes me manque, je sais que ce n'est pas une préoccupation et que le monde est a feu et à sang, mais que voulez-vous, j'ai toujours désiré mon homme et ça … depuis vingt ans … Je pose ma main qui était sur son visage sur son torse. Je soupire, je n'aime pas et je ne veux pas, mais je ne dis rien. « Tu as raison. Je pense que je vais retourner la terre, puis je sans sans doute trouver des trucs pour protéger le terrain et si je ne suis pas trop fatiguer … JE ferais quelque chose en t'attendant. » Je lui fais un clin d'oeil en lui montrant le bas de mon corps.

       

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

J'aime quand il me colle à lui en me serrant aussi fort, quand vous prenez quelqu'un dans vos bras et que la personne vous serre encore plus fort c'est une sensation tellement magique et encore plus quand c'est la personne que vous aimez. Ses lèvres rencontrèrent les miennes pour s'envoler dans un baiser rempli de tendresse et d'amour. Beaucoup sont dégoûtés de voir deux hommes, deux sexes les mêmes, deux homosexuels se montraient en public. L'amour ne se dicte pas en devant être dans le moule de monsieur tout le monde voir monsieur parfait, non, l'amour s'offrait seulement aux personnes le méritant et peu importe leur sexe et orientation, moi je n'en avais que faire des insultes, des critiques, des ragots sans fin, j'aime mon mari, j'aime le sexe, j'aime être passif, j'aime être actif, j'aime découvrir, je ne suis simplement pas un mouton suivant le troupeau bien joliment et de ça j'en suis bien fier. Connaissant à la perfection mon amour, ses quelques petits gestes me firent comprendre qu'il était en manque de tendresse, de câlin, de moi tout court n'étant pas beaucoup présent ces derniers jours et revenant épuisé comme les autres hommes ou femmes m'accompagnant. Mes mains se posèrent sans gêne quelconque sur ses adorables et appétissantes fesses, mes lèvres reprirent le chemin jusqu'aux siennes et à nouveau on s'envola dans notre petit monde sans problème, sans personne et surtout sans zombie.


"Mon amour, je sais que tu n'aimes pas du tout le fait que je parte, je le comprends, mais je n'ai pas le choix parfois."Je l'embrasse à nouveau plus passionnément. "Nous sommes dans un monde dévasté et le peu de gens ayant encore un espoir on doit les aider, c'est mon travail. Je ne peux pas briser l'espoir de quelqu'un et je veux que tu puisses enfin avoir le monde que tu as tellement désiré sans monstres, une vie de famille, être heureux et ne jamais devoir connaître un monde si sombre." Je pose ma main sur son doux visage et plonge mes yeux dans les siens, un léger sourire se dessine sur mon visage et je continue de parler. "Je t'aime mon trésor et je ferai tout ce que je peux pour te rendre heureux." Le voir ainsi pouvait me rendre fou de rage et bien souvent je laissais cette rage exploser face aux monstres qui autrefois étaient comme nous, des personnes, des humains, des familles, des amis, des amants, des aimants, des hommes, des femmes et tout simplement des enfants. La suite de ses paroles me laissèrent échapper un petit rire en comprenant très bien où il voulait en venir sans avoir besoin de faire le moindre geste. Il était encore bien tôt et c'est vrai que nos moments intimes autrefois si nombreux étaient réduits à presque rien. J'en avais tout autant envie que lui et après tout pour une fois c'est moi qui partirai pour rejoindre les autres en dernier. Je prends sa main en souriant en coin et le tire à ma suite pour revenir dans notre lit jetant au passage mes chaussures et m'allongeant sur lui. "Ils m'attendront encore un peu, j'ai envie de toi, je t'aime et je veux profiter encore et encore de ton sublime, délicieux corps mon amour." Accompagnant le geste à la parole, je l'embrasse avec envie tout en lui caressant le torse, me frottant contre lui et lui faisant bien sentir la bosse qu'il y avait entre mes jambes tout en descendant mes mains de plus en plus bras sous son pantalon.





       

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

Je me mets à le regarder dans les yeux et lorsque je peux, je le colle d'avantage à moi, je n'avais pas envie de cette séparation, depuis toute cette merde, je n'ai pas eu un seul moment intime avec lui, sauf au tout début, ou nous avons trouvés un coin tranquille, même si j'avoue que nous avons pas trop eu l'envie … Enfin non, moi, car j'étais stupéfait … bien sûr que je l'aime … Bien sûr que je désire mon homme, d'ailleurs non, ce n'est pas mon homme, c'est mon mari, je le désire depuis mes quinze ans, depuis qu'il m'a défendu et que nous avons commencés à avoir plus qu'une amitié, depuis les premiers baisers, la première fois, depuis, je n'ai pas eu un seul doute sur ma vie future … C'est lui et personne d'autre, je l'embrasse et prolonge chaque baiser qu'il me donne tout en posant mon regard sur le sien, en sa présence, je suis l'homme le plus combler, celui qui ne peut pas être malheureux, lorsqu'il est loin … C'est autre chose, je pense constamment à lui, je me demande s'il va survivre … s'il va me revenir entier, c'est peut-être stupide de penser à ça, mais c'est comme ça … JE ferme les yeux en savourant ce baiser langoureux que nous partageons, puis je me mets enfin à réaliser que je suis chanceux, oui, parce que les hommes et les femmes d'ici ont sans doute un être aimer et moi … Il était là, d'ailleurs je sais que si je sors, je finirais par me faire bouffer, je ne supporte pas la vision que j'ai des zombies, c'était des hommes, des femmes, des amis sans doute de quelqu'un, de la famille, heureusement ce n'était pas ma famille, enfin les larmes coulant le long de ma joue, je suis rassuré de savoir qu'il était prêt de moi.

Oui, c'est une évidence, je n'aime pas qu'il sorte, qu'il soit loin de moi, mais pourtant, je sais aussi que je pourrais pas l'empêcher de rester prêt de moi, mais cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas eu à moi … En moi … Sentir mon corps coller au sien, que nous faisons un, est-ce que ça me manque bien sûr … Je ne vais pas dire le contraire. « Parfois tu n'as pas le choix … Mais la plupart du temps si. » Ouais, je ne voulais pas qu'il s'en aille, je voulais partager un moment tendre, un moment charnel avec lui et je ne me cache pas de se désire, prolongeant petit à petit le baiser, il reprends la parole. « Non chéri, ce n'est pas ton travail … Tu n'es plus celui que tu été … Tu es un survivant, tu es mon mari … voilà ce que tu es vraiment. » Ouais, il n'avait plus de job, enfin si, mais pas dans l'ancien monde, même si je veux être égoïste, je le comprends qu'il veuille sauvé tout le monde, la veuve et l'orphelin. « Tu n'es pas responsable de ça... J'espère que tu le sais ? » Bien sûr que j'aimerais me réveiller de ce cauchemar, mais je ne veux pas non plus qu'il se fasse tuer par ces monstres. « Je sais, mais je ne l'aurais pas si tu te fais tuer. » Depuis notre relation, je n'ai jamais imaginer vivre une histoire d'amour avec quelqu'un d'autre et c'est pour ça que je ne veux pas qu'il parte, j'ai toujours les larmes aux yeux parce que je prends conscience que je suis qu'un être faible et que s'il n'aurait pas été là … Je serais sans doute mort à cette heure. Je me mets à sourire légèrement. « Je t'aime aussi poussin. Si tu veux me rendre heureux … alors... » Bien sûr que j'en oublie pas le désire que je peux ressentir pour lui.

J'en avais un peu marre que les gens profitent de lui, mais en même temps, c'est surtout parce que je ne peux pas le faire moi, mais alors que je suis assez explicite, je le sens prendre ma main et me ramener dans ce qui est notre « chambre » si on peut dire cela comme ça, je baisse alors mon pantalon, puis je m'allonge sur lui tout en le regardant dans les yeux, c'était un des moments que j'attendais depuis tellement longtemps que j'en suis tout exciter en avance. Je l'embrasse alors qu'il finit de me parler, je pose mes mains sur son corps qui m'avait terriblement manquer, passant même une des mains sur son visage sentant quand même que sa main se diriger vers mon membre je l'embrasse. « Oh oui .. je t'aime et je veux profiter de ce moment pour prendre mon pied et que tu gardes un souvenir de moi. » Je finis par sourire oubliant presque le ressenti que j'avais eu, puis je l'embrasse, puis très vite, mes lèvres se dirige vers ce magnifique cou, je descends petit à petit sur son torse que j'embrasse tout en caressant ses jambes tout en remontant à chaque fois que ma bouche descend. Une fois prêt de son nombril, je me mets à lui lécher tout en descendant.

       

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

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Un sourire sublimant mes lèvres offrant bien des mots qui en disaient long en retour aux paroles de mon bien aimé, ses mains caressant mon visage, caressant mon corps ne loupant pas un seul endroit, sa langue les accompagnant délicieusement, ma bouche ne put que lâcher des soupirs de plaisance et l'excitation fut vite à son comble sentant que mon membre était durcit à souhait. Sa langue passant et repassant encore et encore autour, sur, mon nombril descendant laissant des sillons humides le long de mon torse jusqu'à mon jean où une bosse était bien visible. Ne lui laissant pas le temps le restant de mes vêtements vola au loin et mon âme quitta mon corps vers de lointain plaisirs lorsque sa bouche se referma langoureusement autour de mon membre. La danse de sa langue tout autour, montant, descendant, de long en large, les petits coups de langues me lançant des éclairs de plaisir et me laissant hoquetant, les joues rougeoyantes, les yeux semi-clos, le bassin tendu comme pour aller plus loin encore dans cette cavité humide et exquise. 


Le plaisir était bien trop fort, le manque de lui, de son corps aussi avait duré bien trop longtemps, on ne s'était pas donné beaucoup de temps libre et le peu de temps ensemble on en profitait pour se câliner, parler et aider par ci ou là du campement. Ne voulant pas venir aussi vite et ayant du mal a résisté je le redressa doucement, échangeant nos rôles passant au dessus de lui en arrachant limite son sous-vêtement. Et fondant sur ses lèvres lui offrant un baiser qui offrait bien des propositions et promesses. Frottant nos deux corps, faisant en sorte que nos membres se rencontrent à chaque frôlement, ma langue glissa dans son cou et vers son torse, m'arrêtant sur les tétons, prenant mon pied de le voir frissonnant et fou de désir. Bien vite son membre se retrouva engloutit par ma bouche gourmande et ardente, léchant, happant, suçotant tout était bon pour le rendre fou et dieu sait à quel point j'aimais ça. Mes doigts humidifiés au préalable trouvèrent également leur chemin vers le point de non retour, le caressant, le titillant, en glissant délicatement un tout en continuant à lui faire une fellation pour le détendre au maximum. Un second doigt rejoignit l'autre pour entamé un vas et vient doux, lent puis s’amplifiant le préparant à m'accueillir sans douleur. 

 

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Sa phrase me fait sourire, il a envie de moi mais n'aura pas le temps pour me rendre le plaisir que je lui offre avec envie et amour, cette phrase me faisait pensé au passé, un bon souvenir tout aussi rempli d'amour que d'être comique. Rappelons nous ensemble, parfois un flashback fait du bien surtout dans un tel contexte d'apocalypse. C'était un beau matin de neige, la soirée avait été arrosée et mouvementée. J'avais congé la veille et du coup j'avais fais la surprise à Max d'un bon repas avec malheureusement quelques débris grillés mais ce n'était que détail voyons, puis des bougies et ambiance romantique, musique et compagnie, digne d'un film d'amour à l'eau de rose. Parfois je devais avoir un côté fleur bleue à cause de mon bel aimé. Donc je reprends, entre le champagne, les bières, le sexe la nuit fut courte et la gueule de bois du lendemain bien présente. Malgré la gueule de bois présente je devais partir travailler, mon envie matinale était tellement alléchante surtout quand sa bouche s'est retrouver sur mon membre à le déguster comme il en avait le don, après quelques préliminaires soit au moment de le prendre il m'avait lancé la même phrase qu'aujourd'hui après avoir eu le malheur de regarder l'heure. Par ailleurs j'étais arrivé quand même en retard, les cheveux en bataille et la cravate à moitié défaite au bureau, mes collègues avaient bien ris ce jour là . 


"Ne t'inquiète pas mon amour, tu me le rends absolument bien en étant à mes côtés depuis toutes ces années."


Il est ma vie, mon bijou, mon trésor, mon bien le plus précieux, parfois j'ai envie de retrouver les gamins à l'époque qui l'avaient embêté pour simplement les remercier d'avoir étaient des petites merdes à cette période là. Reprenant mes baisers partout sur son corps, j'enlève mes doigts pour pouvoir le pénétrer sans trop de douleur avec mon membre bien tendu. Je m'enfonce étape par étape le laissant s'habituer à nouveau à moi. Après autant de temps sans pratiquer mieux valait d'être doux comme les premières fois de notre relation. Je reste attentif à ses gestes, sa respiration, son regard, au bout de quelques minutes mes coups de reins deviennent plus libres et je savoure les décharges électriques dû au plaisir qui m'envahissent. Me voilà dans un autre monde de plaisir et luxure sans limite, je me retire de lui le retourne pour qu'il soit à quatre pattes, je le pénètre à nouveau en profitant de la meilleure position pour une pénétration plus profonde, j'en profite aussi pour prendre son membre en main et le masturbe. Des légers râles de plaisir sortant de ma bouche entrecoupant ma respiration saccadée. 

 

Max Blackwood & Gabriel Blackwood

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Oh oui amour, je te rejoins sans hésitation là dessus, ça m'a tellement manqué aussi. Pouvoir être qu'un, pouvoir te sentir te crispé, pouvoir te voir gémir, pouvoir te voir et t'entendre répété mon nom comme une douce et merveilleuse litanie auprès de mes oreilles. Continue amour, gémit encore pour moi, ça m'excite, mes mouvements s'accélèrent, tapant au fond de toi à plusieurs reprises, lâchant de rauques soupirs, la respiration totalement saccadée. Mon vas et vient sur ton pénis s'accordant à mes coups de reins en toi. Tout autour de nous n'existe plus, il n'y a plus qu'un matelas pourrit, toi, moi, nos corps enlacés, enfoncés, le reste n'existe plus. C'est tellement bon, c'est tellement merveilleux, je n'en peux plus, j'appuie une main sur le mur pour m'aider à garder mon équilibre et j'accélère sur son membre, voulant le faire venir lui en premier avant de pouvoir me répandre en lui librement en sachant qu'il a grimpé aux rideaux. Mon égo devait être flatté ? Nooooon, à peine voyons ! Après encore quelques aller et retour je le sens se tendre plus que d'habitude et venir se libérer dans ma main après un énième cri de jouissance. Quelques secondes près je viens aussi dans un râle rauque et j'éjacule en tapant une dernière fois dans le fond de mon homme, j'ai chaud, j'ai aimé, je suis en retard, je m'en tape royalement.

"Oh amour, tu es si délicieux."

Je me retire délicatement et me laisse glisse à côté de lui sur le matelas, reprenant tranquillement ma respiration et caressant ses beaux cheveux de ma main propre. Oh oui ça m'avait manqué, on a beau être ensemble, profiter, s'aimer, le sexe aussi avait besoin d'être présent dans nos vies et franchement, qu'est ce que c'était bon comme à chaque fois, bon j'avoue cette fois ci ça m'a parut comme notre première fois, la douceur, la peur de faire mal comparé à l'habituelle routine sexuelle. Je l'embrasse une fois qu'il s'est tourner vers moi et lui susurre des tonnes de je t'aime. J'entends du bruit, les derniers se sont levés et sont parti, ce qui voulait dire que j'étais vraiment mais vraiment en retard et encore une fois j'allais me faire engueuler, bon je m'en foutais certes, mais quand même, fallait que je m'habille avant qu'ils débarquent râlé, je suis pas pudique loin de moi cette idée, juste prévenant. Je lave ma main et passe un coup sur mon sexe histoire d'être rafraîchit et propre tout de même. Je m'habille donc sous les yeux de mon amant et je viens de nouveau lui voler des baisers. Sur ces belles paroles je quitte mon bien aimé pour rejoindre mon groupe de mission.

"Je dois vraiment y aller mon ange, non que ta compagnie me dérange, bien au contraire, remettre ça j'adorerais ! Je t'aime mon amour, je te reviendrais sain et sauf, prends soin de toi."